lundi 29 septembre 2008
Motomag maintenant en kiosque!
Motomag Volume 14, numéro 5. Non seulement est-il intéressant à lire, la mise en page est une réalisation du Patchwork. Bonne lecture!
dimanche 28 septembre 2008
Nouvelle Illustration - Bouddha Pizza
Un walpépeure! Cliquez sur l’image pour la version pleine résolution, vous pourrez même vous en servir comme fond d’écran pour télé HD. Si votre écran est plus petit, vous aurez de la place pour rogner.
J’ai soumis ce design pour le concours Onetop. Ça serait cool qu’il soit retenu. Sinon, je vais probablement m’arranger pour que ça se retrouve sur un chandail quand même...
mercredi 24 septembre 2008
Émilie Simon — Space Oddity
Voilà. Je me devais de faire une mise à jour, mais pour le moment, pas de matos (l’imprimeur a pris du retard sur la magazine que j’ai monté il y a quelques semaines. Mon banquier aussi, mais ça c’est une autre histoire). Pause musicale donc. En espérant que vous appréciez mademoiselle Simon, son joli minois, sa voix angélique et son talent pour le bidouillage électronique.
dimanche 14 septembre 2008
Nouvelle illustration - G A J A D E V A
Ça faisait longtemps que je voulais dessiner un éléphant. Éventuellement, ça a commencé à ressembler à Ganesha, le dieu-éléphant hindou. Je dis bien ressembler, des trucs auraient dû changer en cours de route, mais mon lineart était trop avancer pour tout défaire; j’ai passé une quinzaine d’heures là-dessus, probablement le plus de temps que j’ai passé sur une seule illustration. J’espère que mon sanskrit est lisible...
Évidemment, l’illustration est aussi à vendre si vous cliquez sur le lien!
Lineart original à la main, couleur dans Adobe Illustrator.
jeudi 11 septembre 2008
Une saudite bonne raison de ressortir son gros Walkman jaune
Je suis de cette génération. Bien avant l’époque des iPods qu’on pourrait perdre dans une craque d’égout. À l’époque des zappers oranges (en fait le mien était gris, ce qui veut dire que je suis un peu plus vieux que vous!), mais surtout des walkmans en gros plastique jaune de Sony, qui pouvaient supposément aller sous l’eau pis toute (moi, trop pissou, je n’ai même jamais daigné renverser un peu d’orangeade dessus, ne serait-ce même pour essayer).
Mais bon, tout ce que ça me prend pour illustrer mon propos, c’est que j’ai besoin d’un lecteur de cassettes. En fait, ma vieille Ford Escort vendue il y a deux ans aurait très bien pu faire l’affaire, mais mon gros walkman jeune de ma jaunesse faisait un peu plus style.
Pourquoi diantre aurais-je besoin d’un lecteur de cassettes (et de trois paragraphes d’inepties en gage d’intro)?
Pour ça :
Le MIXA, si j’ai bien compris, c’est une cassette USB d’un gigaoctet. On la remplit de notre meilleure musique, on la met dans notre tape deck préféré et on tripe fort. Encore mieux, en commandant le truc sur le site, on peut même faire soi-même la pochette. Donc, la moyenne des hipsters qui fréquente ce blogue (trois pelés et deux tondus, mais pelés et tondus au Barbershop) pourront se monter des mixtapes de ma-la-des, et les autres pourront toujours tricher au prochain K7 Battle de MC Gilles.
Disponible pour une vingtaine de piasses sur le site ci-haut.
Je regrette quaisment d’avoir vendu ma vieille Escort 96 varte.
Mais bon, tout ce que ça me prend pour illustrer mon propos, c’est que j’ai besoin d’un lecteur de cassettes. En fait, ma vieille Ford Escort vendue il y a deux ans aurait très bien pu faire l’affaire, mais mon gros walkman jeune de ma jaunesse faisait un peu plus style.
Pourquoi diantre aurais-je besoin d’un lecteur de cassettes (et de trois paragraphes d’inepties en gage d’intro)?
Pour ça :
Le MIXA, si j’ai bien compris, c’est une cassette USB d’un gigaoctet. On la remplit de notre meilleure musique, on la met dans notre tape deck préféré et on tripe fort. Encore mieux, en commandant le truc sur le site, on peut même faire soi-même la pochette. Donc, la moyenne des hipsters qui fréquente ce blogue (trois pelés et deux tondus, mais pelés et tondus au Barbershop) pourront se monter des mixtapes de ma-la-des, et les autres pourront toujours tricher au prochain K7 Battle de MC Gilles.
Disponible pour une vingtaine de piasses sur le site ci-haut.
Je regrette quaisment d’avoir vendu ma vieille Escort 96 varte.
vendredi 5 septembre 2008
Mon bureau
Voilà. Après deux semaines et quelques contrats, le navire commence à prendre sa vitesse de croisière, et je puis dire que je ne déteste pas ça du tout!
Comment on se sent? On se sent libre, surtout. Parce dès que je sais que j’ai tout juste la discipline qu’il faut pour ouvrir la sheuppe à heure fixe et livrer la marchandise à temps (et you bet que je livre!), tout le reste de l’univers m’appartient. Le matin, par exemple, je passe le temps que je prenais pour me rendre au bureau à marcher jusqu’à un des deux parcs près de chez moi, histoire de m’oxygéner le cerveau avant de me garrocher dans l’ouvrage.
En même temps, j’ai l’impression de vraiment découvrir le voisinage, sa routine et ses habitudes, même si ça fait 10 ans que j’habite dans le coin. Ça me donne l’impression de pouvoir enfin apporter quelque chose à l’endroit. Surtout que j’ai l’impression d’enfin avoir le droit de penser comme je veux. La seule compagnie que j’ai à représenter, c’est moi. Plus facile donc de penser plus humain, plus écolo. Savoir que maintenant, j’ai vraiment le pouvoir de changer les choses, ça me redonne de l’énergie et du moral. Ça doit être l’air du parc et les calories que je brûle qui font ça. Et par la bande, comme je suis plus actif, je commence à mieux manger. Un jour, qui sait, je vais commencer le jogging...
Mais le gros de mes journées se passe ici. Caro m’a dit qu’elle voulait voir mon bureau. Je vous fais faire le tour du proprio.
Chez mes amis blogueuses, l’heure est au top 5 de quelque chose. Pakou a ses cosmopolitains, St3f a sa musique, Maya veut en faire un... Je vous offre le mien, d’albums qui ne bûchent pas trop parce que ces temps-ci, je file zen.
5. Beirut — Gulag Orkestar et The Flying Club Cup (world-manouche-est-européen-fait-aux-usa)
Je les mets ensemble parce que, d’un album à l’autre, Zach Condon (oui, il s’appelle comme ça) reste régulier comme une boîte d’All-Bran. Mais on aime ça. Pourtant, quand Moby avait fait ça (nous servir 18 après Play, le premier étant la même chose que le second à trois notes prés), j’avais décroché complètement. Mais peut-être que les deux albums de Beirut sont justement deux produits homogènes, et non pas des copies conformes...
4. Misteur Valaire — Friterday Night (électro-jazz-machin)
Cet album a deux grosses, grosses qualités. 1- il est excellent, et 2- il est gratosse! En effet, les gars ont décidé de le laisser aller librement sur le net. Alors allez le télécharger ici, et allez les encourager en show!
3. Amadou et Mariam — Dimanche à Bamako & Manu Chao — La Radiolina (world-gauche-caviar)
Je mets les deux ex-æquo. Parce que Manu a réalisé le premier, et qu’Amadou Bagayogo a joué de la guitare sur le second. Mais ça me surprend que nulle part on ait souligné que des phrases musicales, voire des chansons en quasi-totalité, fassent le bond d’un disque à l’autre. Probablement que les auditeurs de Manu Chao (les gogauches de la génération X ou Y qui veulent se donner bonne conscience) et ceux d’Amadou et Mariam (la gogauche-caviar babyboomeuse qui écoute la première chaîne de Radio-Canne) ne se parlent pas le diable...
2. Thomas Fersen — Gratte-moi la puce (best-of de poche) (toune-française-à-cordes)
Un de mes gros, gros coups de cœur de cette année. Je connaissais Fersen de nom et pour son Bella Ciao. Avec cet album, j’ai découvert toute la richesse de son univers tordu, et de la rime plutôt bien mise. Et on ne le dira jamais assez, rien de tel qu’un ukulélé pour faire ressortir la poésie d’une chanson.
1. Iron and Wine — The Shepherd’s dog (indé-folk-que-c’est-juste-dla-guite)
J’essaie de trouver une autre petite joke à faire sur cet album, mais je n’y parviens juste pas. Par bouts, ça sonne comme du vieux Pink Floyd acoustique, parfois comme du Harmonium, époque cinquième saison. Et encore, des fois, je voudrais juste avoir un chalet ou même juste un coin-du-feu pour inviter Sam Beam pis sa grosse barbe pis sa guitare. C’est du sexe tantrique acoustique, ce disque. point barre.
Comment on se sent? On se sent libre, surtout. Parce dès que je sais que j’ai tout juste la discipline qu’il faut pour ouvrir la sheuppe à heure fixe et livrer la marchandise à temps (et you bet que je livre!), tout le reste de l’univers m’appartient. Le matin, par exemple, je passe le temps que je prenais pour me rendre au bureau à marcher jusqu’à un des deux parcs près de chez moi, histoire de m’oxygéner le cerveau avant de me garrocher dans l’ouvrage.
En même temps, j’ai l’impression de vraiment découvrir le voisinage, sa routine et ses habitudes, même si ça fait 10 ans que j’habite dans le coin. Ça me donne l’impression de pouvoir enfin apporter quelque chose à l’endroit. Surtout que j’ai l’impression d’enfin avoir le droit de penser comme je veux. La seule compagnie que j’ai à représenter, c’est moi. Plus facile donc de penser plus humain, plus écolo. Savoir que maintenant, j’ai vraiment le pouvoir de changer les choses, ça me redonne de l’énergie et du moral. Ça doit être l’air du parc et les calories que je brûle qui font ça. Et par la bande, comme je suis plus actif, je commence à mieux manger. Un jour, qui sait, je vais commencer le jogging...
Mais le gros de mes journées se passe ici. Caro m’a dit qu’elle voulait voir mon bureau. Je vous fais faire le tour du proprio.
- Il paraît que bientôt, une généreuse donatrice va meubler cet espace mural avec une affiche de Gorillaz. Ça devrait quand même fitter avec les Zapartistes et Loco Locass.
- Mes projets en cours. Les post-it jaunes sont des notes connexes.
- C’est de l’eau. Sérieusement.
- Le centre du monde. Dessus, il y a un Bouddha du bonheur, et ça fonctionne. Pas de farces. Dessous, il y a des haut-parleus. Voir plus bas pour le top 5 de la zique qui y sort.
- Cachés derrière l’ordi, Atlas et Oberon. Le premier porte le poids de mon backup sur ses épaules, l’autre me suit partout pour transporter des projets. Absente de la photo, Titania, ma clé USB...
- Absente sur la photo : ma secrétaie, mademoiselle Pixelle du Petitminouë. Elle ne glande rien de toute la journée, mais j’ai lu quelque part qu’un chef d’entreprise qui a une secrétaire cute qui se laisse flatter la chatte est un chef d’entreprise qui a réussi...
- Le coin référence : le magazine d’avant celui que je monte le prochain, mon PSP et les lunettes Jet7 de ma femme qui passaient par là, et dessous, Le guide du travailleur autonome et How to be a Rockstar Frreelancer, deux ouvrages qui ont été mes bouées de sauvetage dans cette aventure.
- Mes dossiers en attente, ou des trucs dont j’ai besoin relativement souvent. Les factures du mois courant, les trucs de banque, les avis de huissiers... Si au moins les shylocks étaient mieux organisés dans leur paperasse, ça serait tellement plus facile pour mon comptable!
- Passé cette limite, here be monsters. Le retour à mon habituel désordre. Je crois que jamais de mon vivant je ne verrai cette table à dessin vide pour une très longue période de temps! À noter tout de même, sous la sentinelle, mon coin photo.
Chez mes amis blogueuses, l’heure est au top 5 de quelque chose. Pakou a ses cosmopolitains, St3f a sa musique, Maya veut en faire un... Je vous offre le mien, d’albums qui ne bûchent pas trop parce que ces temps-ci, je file zen.
5. Beirut — Gulag Orkestar et The Flying Club Cup (world-manouche-est-européen-fait-aux-usa)
Je les mets ensemble parce que, d’un album à l’autre, Zach Condon (oui, il s’appelle comme ça) reste régulier comme une boîte d’All-Bran. Mais on aime ça. Pourtant, quand Moby avait fait ça (nous servir 18 après Play, le premier étant la même chose que le second à trois notes prés), j’avais décroché complètement. Mais peut-être que les deux albums de Beirut sont justement deux produits homogènes, et non pas des copies conformes...
4. Misteur Valaire — Friterday Night (électro-jazz-machin)
Cet album a deux grosses, grosses qualités. 1- il est excellent, et 2- il est gratosse! En effet, les gars ont décidé de le laisser aller librement sur le net. Alors allez le télécharger ici, et allez les encourager en show!
3. Amadou et Mariam — Dimanche à Bamako & Manu Chao — La Radiolina (world-gauche-caviar)
Je mets les deux ex-æquo. Parce que Manu a réalisé le premier, et qu’Amadou Bagayogo a joué de la guitare sur le second. Mais ça me surprend que nulle part on ait souligné que des phrases musicales, voire des chansons en quasi-totalité, fassent le bond d’un disque à l’autre. Probablement que les auditeurs de Manu Chao (les gogauches de la génération X ou Y qui veulent se donner bonne conscience) et ceux d’Amadou et Mariam (la gogauche-caviar babyboomeuse qui écoute la première chaîne de Radio-Canne) ne se parlent pas le diable...
2. Thomas Fersen — Gratte-moi la puce (best-of de poche) (toune-française-à-cordes)
Un de mes gros, gros coups de cœur de cette année. Je connaissais Fersen de nom et pour son Bella Ciao. Avec cet album, j’ai découvert toute la richesse de son univers tordu, et de la rime plutôt bien mise. Et on ne le dira jamais assez, rien de tel qu’un ukulélé pour faire ressortir la poésie d’une chanson.
1. Iron and Wine — The Shepherd’s dog (indé-folk-que-c’est-juste-dla-guite)
J’essaie de trouver une autre petite joke à faire sur cet album, mais je n’y parviens juste pas. Par bouts, ça sonne comme du vieux Pink Floyd acoustique, parfois comme du Harmonium, époque cinquième saison. Et encore, des fois, je voudrais juste avoir un chalet ou même juste un coin-du-feu pour inviter Sam Beam pis sa grosse barbe pis sa guitare. C’est du sexe tantrique acoustique, ce disque. point barre.
mardi 2 septembre 2008
Pirate Baby’s Cabana Street fight
Caro m’a fait découvrir ce truc, qui nous rappelle qu’au travail, au repos et dans les loisirs, l’occasion est toujours bonne pour sacrer une volée à une horde de zombies. J’abonde dedans son sens, ça ferait un jeu super, quoiqu’un peu gore. Relativement safe pour le travail, mais quand même un petit peu hardcore par bouts.
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