Le Patchwork s’équipe en grand!
Vous aimez? Moi aussi. Et j’en ai maintenant un sur mon bureau! J’avais prévu faire le saut plus tard cette année, mais des bizarreries avec mon ancien (coupure de courant en plein rush pour un client) ont un peu précipité mon investissement. Bizarrement, l’ancien ne m’a plus fait de misères, mais bon, mieux vaut prévoir que... que... euh, Gérard, mettons.
J’ai pratiquement fini de tout remettre à jour. Et c’est de la bombe, sérieusement. Aucune commune mesure en termes de vitesse et de puissance entre mon «Metal Gear Mk. III» et l’autre en plastique blanc (un des derniers iMac G5, quand même; merci Mk. II pour tes loyaux services!), et une différence étonnante en ce qui a trait à la brillance de l’écran, au point où je me demande comment j’ai fait pour traiter des images là-dessus!
Parlant de machine qui roule...
Ça fait un peu plus d’un mois que le Patchwork et la branche canadienne du fabricant de motos autrichien KTM font affaires ensemble. Bien entendu, ça m’enchante d’avoir un client aussi bien établi qui va m’aider à grandir en m’amenant un char et une barge de défis, mais je suis tout aussi confiant que je peux leur apporter quelque chose, ne serait-ce qu’un travail de qualité qui s’impose de plus en plus comme ma marque de commerce. Longue vie à cette association!
MémoArt
Le but de la coopérative MémoArt est très simple : offrir des cours de musique et de l’encadrement aux enfants défavorisés. Pour y arriver, la vidéaste Mélitza Charest compte produire des vidéos commémoratifs à l’aide de ses talents de portraitiste hors-pair. Plus à venir quand tout aura pris son envol, mais pour le moment, retenez que ce projet social est habillé par votre humble serviteur.
Les vacances approchent...
Et croyez-moi, elles seront méritées. Je ferme la shop du 13 au 24 avril. Rien de trop compliqué au menu, mais j’ai besoin de m’évader, de faire une sérieuse introspection sur moi-même, maintenant que le Patchwork a atteint un semblant de vitesse de croisière. Le décollage s’est fait dans la tourmente, et il y a des choses qui dataient de bien avant avec lesquelles je dois faire la paix. Mais sans vous, vos bons mots et vos encouragements sentis, je en serais pas où j’en suis présentement. Je vous en dois une.
J’écoutais Karkwa reprendre Félix, cet après-midi, et c’était inspirant :
Y a l'tour de l'îleQuarante-deux milles De choses tranquilles
Pour oublier Grande blessure Dessous l'armure...
Merci pour l’inspiration, Louis-Jean Cormier. Ça me tenterait pas mal d’aller me faire voir en Terre de Félix pour un jour ou deux...
(Finalement, pour une entrée courte et peu inspirée...)
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